Enseignements de l’imam, avec Imam Yacoub TIEMTORE, Prises de notes
Droit de la femme sur le mari : prise en charge totale de ce dont elle a besoin, bon comportement, volet matériel, etc. dans les limites de ce qu’il peut
Droit du mari : obéissance de son épouse dans le sens que l’homme est l’amir, le capitaine du bateau, obéissance dans ce qui est convenable
Rapport intime : très important, répondre à la demande de l’autre en fonction des possibilités.
Nous connaissons les droits et devoirs, le problème reste comment les mettre en œuvre.
Pour sauver nos couples, nous devons faire plus que ce qui est demandé en matière de droits et devoirs.
En général ce qui n’est pas visible est plus important que ce qui l’est.
Il faut traverser l’océan de dunia sans se noyer.
Il faut aussi s’interroger sur la l’égalité et la légitimité (ça nous rappelle l’article 37), c’est mon droit mais est-ce que ça va plaire à l’autre.
Après tout, après tout nous allons rendre compte à Allah, et c’est plus sur mes devoirs que sur mes droits. Soustraire, c’est ajouter l’opposé, nous aurons cette expérience non souhaitable le jour du jugement. Il ne faut pas souhaiter récupérer quoi que ce soit de ta femme, de ton mari. C’est dire qu’il faut œuvrer à être correct ici-bas.
Si on veut s’accrocher aux droits et devoirs, on risque de ne pas atteindre l’objectif.
On dit la femme doit obéissance à son mari et en même temps on sait des choses qu’elle fait alors qu’elle n’est pas obligée, elle peut même réclamer salaire pour certains cas (c’est le coran qui le dit). C’est pour dire d’aller au-delà du législatif.
Le pouvoir et le contrepouvoir, si on part avec cette base c’est que c’est faussé, évitons l’égo. C’est comme quand on parle de la polygamie, nous ratons la base en se voyant comme étant des rivales.
Il nous faut puiser dans nos sources, dans les éléments basiques de notre religion que nous avons oublié, de la spiritualité. On se force dehors pour être bon alors que chez soit même, on ne prête garde.
Après la rectitude à l’endroit de Allah, on a les parents, les voisins de toute sorte (domicile, service, etc.), la bienfaisance entre vous dans vos rapports.
Faire tout pour se surpasser en bien dans nos relations, donner la préférence aux autres même étant dans le besoin.
Quand on veut, on peut, la bienfaisance, etc.
Demandons l’aide de Dieu toutes nos affaires.